Bienvenue


Cordialement

Camajan
Bienvenue sur Cubazic "le Mango Caraïbes" :
vous avez une ou des questions sur Cuba, vous pouvez la poser ici:
http://cubazic.blogspot.fr/2014/05/questions-sur-cuba.html

Si vous désirez vous procurer mon livre "La Trampa, Amour Cubaine" n'hésitez pas, si ce blog vous plaît le bouquin vous plaira aussi...vous ne serez pas déçu...cliquez ici, Merci.

If you want you can translate this blog, See at the right side....


mercredi 5 septembre 2012

Cuba, un regime au quotidien...


Un regard neutre sur ce pays captivant, un regard sur sa société, sa politique, son économie qui vous permettra de vous faire une idée pour votre prochain voyage. L'ouvrage est ecrit par un collectif d'universitaires : sociologues, anthropologues,politologues,historien et écrivain. Publié aux éditions Choiseul pour la somme de 20 Euros, 219 pages...

Présentation :
Le régime mis en place à La Havane en 1959 n’est jamais parvenu à imposer l’obéissance totale à la société cubaine. Voilà cinquante ans qu’elle réagit aux contraintes imposées – des premiers opposants politiques aux ingénieux blogueurs du XXIe siècle déjouant la censure interne en passant par les jeunes rappeurs noirs qui ont su tirer leur épingle du jeu au moment où l’idéologie communiste commençait à s’effriter.  Au quotidien, les Cubains marchandent et se débrouillent : marché noir, troc, détournement – une explosion tous azimuts de l’inventivité délictueuse sans pour autant menacer l’ordre public. Le régime, lui, manipule, subvertit, réprime mais s’adapte. Sans doute le secret d’une telle longévité.

Sommaire :
Prologue, Rafael RoJas
Les dédales du régime cubain, 1959-1989, Vincent Bloch 
Les Vázquez : une économie familiale à La Havane, Julia CoJimar 
Condamner et punir à Cuba : le système pénitencier sous le régime révolutionnaire, Elizabeth Burgos 
Religion dans la Révolution : le retour du catholicisme cubain, Philippe Létrilliart 
Artistes et intellectuels cubains : entre incertitude et tâtonnements, Yvon Grenier 
Quand les rappeurs cubains marchandent avec l’état, Sujatha Fernandes
Postface Martí, histoire d’une gifle, Antonio José Ponte
 

Aucun commentaire: